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On ne vous souhaitera pas une bonne année 2018

2018-01-22
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On va faire mieux que le souhaiter : on va s’y engager.

Petite rectification…

Quel chapô bien présomptueux. Permettez-nous de préciser que notre engagement porte sur l’aspect professionnel. Pour ce qui constitue une année bien réussie, il faudrait réunir santé, amour et travail. Et pour ces deux premiers points, notre amplitude d’action est quelque peu limitée.

Oui, on peut tout de même s’essayer à vous donner quelques conseils avisés. Pour ce qui concerne votre santé, préférez consommer des crucifères en grande quantité, essentiels à vos défenses immunitaires. Accompagnez-les d’ail pour la circulation du sang. Vous vous prémunirez ainsi de risques cardio-vasculaires. Par dessus, des antioxydants et des oméga 3 et 6. Et surtout, n’oubliez pas de pratiquer régulièrement une activité sportive.

C’est tout. C’est vraiment tout ce que l’on a en magasin. Vous souhaiter une bonne santé aurait été plus simple et tout aussi efficace.

Même chose pour votre fortune amoureuse. Là encore, notre pouvoir est restreint. Encore que… Nous pouvons vous conseiller de ne pas consommer de crucifères, ou d’ail et ce pour limiter la production d’odeurs disgracieuses pouvant ruiner vos manœuvres de séduction. A part ça… non. On ne peut rien faire d’autre à part vous souhaiter de l’amour.

En revanche, pour le troisième point – l’aspect professionnel – nous avons une belle carte à jouer. Et elle est en parfaite contradiction avec la notion de souhait. Chez O’clock, on ne souhaite pas. On ne s’en remet pas à la chance. On ne fait pas de vœux. On n’attend pas que ça tombe. Chez O’clock, on travaille, on transpire, on martèle. Avec la certitude que les résultats découleront de nos efforts.

Je-ne-veux-pas-travailler

Vous l’avez chanté dans votre tête ou pas ? Hein ?! Hum, bref, revenons-en à nos moutons : le travail.

C’est un mot quelque peu décrié. Surtout en ce moment. Il est associé à la contrainte, aux efforts fournis sans quête de sens. Et à juste titre, car très peu de français travaillent dans un domaine qui les passionne. Au lieu d’y voir un espace d’accomplissement, ils y voient un espace d’oppression. Fournir un effort répétitif, qui ne sert ni leurs intérêts, ni leurs propres passions.

On travaille pour se nourrir, on travaille pour payer son loyer. Travailler est toujours la pénible compensation que nous sommes prêts à consentir pour obtenir ce que l’on veut : vivre.  Alors pour atteindre cet eldorado moins péniblement, on essaie de prendre la route la moins tortueuse possible. On prend les raccourcis, on évite les routes pentues ou rocailleuses.

Mais rien n’y fait. Le travail reste ancré comme une contrainte parce que nous avons admis que c’était un prix à payer. Et si nous inversions le prisme ? Et si le travail n’était plus perçu comme la route, mais comme la destination ? (Mais qu’est-ce qu’ils nous gonflent avec leurs routes !). Travailler ne serait plus la contrepartie douloureuse mais la cause directe de notre épanouissement. Ne plus travailler pour vivre, mais vivre parce que l’on travaille.

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C’est même une philosophie déjà théorisée.

«Quel beau programme…». Encore faudrait-il aimer ce que l’on fait et surtout pouvoir faire ce que l’on aime ! C’est là où O’clock entre en jeu.

Le métier de développeur : la passion comme moteur

Le métier de développeur est un métier de passionnés. C’est ce que l’on a(vait) coutume de dire.  Avec le décodeur, il fallait comprendre que c’était un métier très peu répandu. N’attirant que les véritables ayatollah de l’informatique.

Au fil des années, l’image du développeur s’est assouplie et on a doucement entrevu la possibilité de s’accomplir en tant que développeuse ou développeur, sans avoir nécessairement vu tous les épisodes de Star Trek. On caricature, mais c’est presque ça.

On commence à ne plus voir le métier de développeur comme obscur, secret et abscons. Il apparait à nos yeux comme un métier de tous les possibles, nous permettant à la fois d’évoluer dans un secteur essentiel au monde d’aujourd’hui, d’embrasser des domaines différents, de faire appel à notre intelligence et à notre faculté d’analyse. Un rare métier qui nous offre l’opportunité d’en apprendre tous les jours et de nous remettre sans cesse en question. Un métier qui ne nous lasse jamais. En bref, un métier qui nous passionne.

Chez O’clock, on s’engage à vous ouvrir cette passion. Vous apprendre ce métier pour que vous puissiez, tout comme nous, vous épanouir sur cette voie. Cela ne dépendra pas de la chance, ni d’un concours de circonstances. Pour y parvenir, il faut vous équiper de deux choses essentielles : la volonté et l’huile de coude. (on y revient).

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Vous l’aurez compris, chez O’clock, le travail n’est pas une contrainte. Bien au contraire. Il est un moyen de se révéler. La plupart des étudiants travaillent beaucoup, vraiment beaucoup. Pendant les heures de cours, évidemment, mais aussi pendant les challenges.

Si les cours sont définis et encadrés justement par des horaires, la période de challenge laisse plus de place à l’autogestion de son temps de travail. Il nous est même difficile d’établir un agenda type. Ce qui est certain, c’est qu’en moyenne, nos étudiants passent bien plus de temps que le minimum que nous leur suggérons (au moins deux heures par jours après les cours)

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Au sein de la communauté O’clock s’est installée une culture du travail. Un goût prononcé pour l’effort. Inhérent au métier de développeur car qu’importe la formation, tout développeur vous dira que pour atteindre son objectif, il faudra bûcher. C’est l’essence même de ce métier : répéter !

Pour assimiler, il faut s’entraîner, faire, refaire, chercher, se tromper, déprimer et retravailler deux fois plus pour se relever. Vous y voyez peut-être une torture, les étudiants y voient le salut. On caricature, mais c’est presque ça.

Si le seul moyen de devenir développeur, c’est de développer alors le voyage devient  tout aussi plaisant que la destination. Attention, aimer le travail ne masque pas sa difficulté. La formation O’clock est difficile. La formation O’clock est complexe parce que ce métier est complexe. Mais c’est ce qui rend l’aventure encore plus belle. Il suffit de demander aux étudiants de vous décrire le bonheur qu’ils ressentent au moment où ils trouvent la solution, après plusieurs heures de recherches acharnées.

Certains en ont bavé et n’ont pu qu’apercevoir la beauté de la route, une fois qu’ils en étaient arrivés au bout (et c’est reparti avec leur histoire de route…). D’autres, ont rebroussé chemin. Devant la dureté, ou seulement parce que ce n’était pas le bon voyage. (c’était la dernière, après on arrête).


C’est parce qu’il y a ce travail fourni quotidiennement par les étudiants que nous ne voulons pas entendre parler de chance, ou de souhaits. Tous les accomplissements de nos étudiants, tous les succès, les bonnes notes, les challenges bouclés, les évaluations passées, les projets portés, les diplômes décrochés et les embauches officialisées. Tout est le fruit d’une seule et unique chose : le travail. Les étudiants n’ont pas le temps d’espérer, ils sont trop occupés à matérialiser.