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Qu’est-ce qu’une sortie positive ?

29/04/2024
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Le taux de sortie positive, c’est la donnée statistique qui peut faire chavirer votre petit cœur au moment de faire un choix de formation. Le hic, c’est que chaque école a sa propre conception de ce qu’on appelle une sortie positive. Dans cet article, on va vous expliquer la nôtre. 

Déjà, Comment ça se paSse l’après-formation chez o’clock ?

En parallèle de la team Péda, vous bénéficierez d’un accompagnement personnalisé  par une autre équipe pendant votre formation : la team Relations Entreprises et Carrières. C’est une équipe qui interviendra tout au long de votre formation chez nous, elle vous conseillera, et vous suivra dans vos démarches pour l’après O’clock : l’insertion. Parce que oui, O’clock n’est qu’une étape. Le but ultime : devenir développeur et s’épanouir dans sa vie professionnelle. Alors, la team interviendra dans plusieurs moments clés de votre formation :
  • Le dernier jour du socle : vous sera présentée la plateforme My Job Glasses, c’est une plateforme d’accompagnement qu’on affectionne particulièrement parce qu’elle  véhicule les mêmes valeurs que nous, elle se concentre sur l’humain. My Job Glasses vous permettra d’entrer en contact avec des professionnels pour échanger sur leurs métiers et mieux le comprendre. En bref, ça vous apprendra à vous construire un réseau solide. 💪
  • Le premier jour de la spé : Challenge CV & LinkedIn – La team Relations Entreprises vous confiera un eBook Pro, contenant 150 pages de techniques de recherche d’emploi spécifiquement rédigées pour le métier de Développeur Web. Cet eBook vous guidera dans la création de votre CV et la mise en place de votre profil LinkedIn, suite à quoi vous aurez un retour personnalisé de la part de l’équipe.
  • La veille du lancement de l’apothéose, ils lanceront dans le cockpit une session pour parler techniques de recherches d’emploi : entre autres, comment trouver des entreprises intéressantes, rédiger une lettre de motivation efficace et faire en sorte que LinkedIn n’ait plus de secrets pour vous.
  • Et ensuite, la team Relations Entreprises et Carrières s’occupe de faire ce que l’on appelle un matching ! Ils envoient aux entreprises des candidats pertinents selon leurs attentes, qualifications, demandes en compétences et positionnements pour les profils qu’ils souhaitent recruter. Plus les candidats correspondront à leurs recherches et plus ils nous estimeront et penseront à nous si le besoin de recruter un dev s’en fait sentir !
Une fois opérationnel, formé et sur le marché du travail, comptez sur nous pour venir aux nouvelles, chez nous, le cordon est difficile à couper.

Et c’est quoi le rapport avec la sortie positive ?

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On y vient ! 
Bon, comme nous allons vous l’expliquer plus tard, cette notion est propre à chaque école. Mais chez O’clock, on définit qu’un étudiant est en « sortie positive » s’il se retrouve dans les cas suivants :
  • En CDI ou CDD dans le numérique.
  • Dans la poursuite d’une formation numérique de niveau supérieur à celle suivie avec O’clock (que ce soit en formation continue ou en alternance).
  • En freelance avec des missions, dès les premières missions décrochées.
  • Qui poursuivent leur activité initiale avec évolution.
Et comme rien ne va sans son contraire, qui dit sortie positive, dit également sortie négative. Les personnes qui rentrent dans le cercle des sorties négatives sont celles :
  • Toujours à la recherche d’un emploi.
  • Qui poursuivent leur formation via une formation équivalente ou hors numérique.
  • Qui trouvent un contrat de travail (CDI ou CDD) hors numérique.
  • Dont nous n’arrivons pas à avoir des nouvelles. Notez que dans ce cas de figure, on aura fatalement des étudiants qui auront trouvé un métier de dev. C’est le jeu.
Le rôle de la Team Relations Entreprises c’est aussi de mettre à jour ce taux en restant en contact avec les étudiants et en suivant régulièrement leurs évolutions. Par ailleurs, nous avons mis en place un canal sur Slack uniquement consacré à l’après-formation. Ce canal au nom évocateur : #j’aitrouvé, permet aux étudiants d’annoncer la bonne nouvelle à toute l’école quand ils ont réussi à décrocher un stage ou un emploi. De quoi booster les troupes qui n’ont pas encore trouvé le Graal. Même si ce canal s’allume continuellement (heureusement) ça reste toujours un p’tit événement émouvant pour l’ensemble de l’équipe. En bref, parlons chiffres : d’après tous ces calculs et critères, l’école O’clock compte donc à ce jour 65% de sortie positive à son actif ! À noter que c’est certainement beaucoup plus, mais, comme dit plus haut, il y a des étudiants qui une fois dans la vie active, ne pensent pas à donner des nouvelles de leur carrière.

En quoi votre taux diffère des autres organismes ?

Il diffère parce qu’il n’y a tout simplement pas de définition officielle de cette notion sur laquelle les écoles pourraient se greffer.  Alors du coup, les interprétations de ce qu’est une sortie positive varie d’un organisme à un autre selon ce qui l’arrange et ce qu’il veut mettre en avant. En gros : c’est un peu à sa sauce. 

Méthode 1 : tout job est bon à prendre

Comme il n’y a pas de grilles de critères, il n’y a pas non plus de contrôles. Certains organismes se permettent donc d’afficher 100% de sortie positive.  Dans l’absolu, ce chiffre peut être vrai, mais comme les critères pour calculer le taux fluctuent en fonction des organismes, il est impossible d’établir une échelle d’équivalence entre deux taux de sortie positive, issus de deux organismes différents.  Un 90% de sortie positive chez Dugenoux sera peut-être moins valorisant qu’un 60% chez Duchmol, selon les critères pris en compte. On s’explique. Admettons, vous êtes demandeur d’emploi et vous décidez de faire une formation en cybersécurité pour trouver un emploi dans le secteur. La formation se déroule parfaitement et après votre cursus,  vous finissez effectivement par trouver un emploi de … fleuriste. On est bien d’accord que vous n’utiliserez que très peu les compétences acquises  pendant votre formation pour ce nouveau job. Eh bien, pour certains organismes, trouver un emploi de fleuriste après une formation de cybersécurité constitue une sortie positive. Ok, vous n’avez pas eu de job dans la cybersécurité, mais vous avez un job quand même. Vous vous retrouvez donc dans une meilleure situation professionnelle qu’avant le début de la formation puisque vous étiez demandeur d’emploi.

Méthode 2 (la nôtre) : numérique ou rien

Chez nous, c’est l’inverse. Nous allons considérer que trouver un job de fleuriste après notre formation au métier de développeur web est une bonne chose, évidemment. Mais qui n’est pas de notre fait. La finalité ne correspond ni au but de l’école ni à l’ambition première de l’étudiant qui souhaitait devenir développeur web et non fleuriste. En ce sens, on classera cette personne en sortie négative. Bien que celle ci ait trouvé un emploi. Nous avons donc fait le choix d’une méthode plus stricte et restrictive qui, disons-le clairement, n’arrange pas les bidons de nos chiffres qui se seraient retrouvés beaucoup plus élevés si nous avions pris en compte toutes les embauches de nos étudiants, secteur du numérique ou non.

Pourquoi ne pas faire comme les autres pour vous imposer alors ?

On a décidé d’adopter une grille de critères restrictifs, car nous voulons être clairs avec vous, et avec nous, tant qu’à faire.
sortie positive

Dis les termes !

Notre démarche a toujours été la transparence. Chez O’clock, on dit les termes. Quand on dit que la formation au métier de dev est compliquée, on ne se cache pas, on le dit. Quand on dit que le métier de développeur est complexe et demande énormément d’efforts, on le dit. Bien que ça puisse faire fuir. Quand une formation coûte plusieurs milliers d’euros comme les nôtres, le pire serait de vendre du rêve. En ce sens, quand vous débarquez chez nous, vous savez ce que vous allez apprendre, ce qu’est l’objectif et le taux de réussite des camarades qui vous ont précédés. Du coup, quand on fait la liste de nos critères débouchant sur une sortie positive, on se dit que 65% c’est plus que bien.  Ce taux tient compte de toutes les difficultés de la formation et du domaine en général et, bien sûr, des difficultés liées à la conjoncture. Quand on se dit que quasi 7 étudiants sur 10 vont trouver chez nous ce qu’ils étaient venus chercher, on peut vous dire que l’on est plus que fiers.

Savoir qui l’on est en tant qu’école

On parlait plus haut d’être clairs avec nous-mêmes et on insiste là-dessus. Nous sommes une école de développement web. On passe notre temps à faire de la pédagogie autour des métiers du numérique et les valoriser auprès de publics qui en sont éloignés. Nous croyons en ce que l’on appelle la vocation. C’est pourquoi nous tenons absolument à aligner les objectifs de la formation avec les métriques qui nous servent à déterminer si la formation a fonctionné. Puisqu’ici on parle de formation au métier de développeur, alors le critère principal pour constituer une sortie positive, c’est bien de trouver un job dans le secteur. Nous ne voulons pas simplement faire en sorte que les étudiants trouvent un emploi, nous voulons qu’ils trouvent un emploi qu’ils ont souhaité ardemment. C’est pas de la tarte, c’est pas parfait, mais on y travaille chaque jour.