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Interview d’Alex Palma, développeuse, speaker et consultante

14/04/2025
Alex Palma développeuse consultante

A l’occasion de la Journée de la femme digitale, nous avons eu le plaisir d’échanger avec Alex Palma, alumni de la formation développeuse web de l’école O’clock et actrice engagée pour l’inclusion des femmes dans le numérique.

Après sa formation, Alex a tracé son chemin dans la tech en mettant son expertise au service de projets innovants et en œuvrant pour une meilleure représentation des femmes dans les métiers du numérique. Fondatrice de la communauté Kod Awen, elle est également ambassadrice de Google Women Techmakers et impliquée dans diverses initiatives visant à promouvoir la diversité dans le numérique. À travers le mentorat, des conférences et des actions de sensibilisation, elle contribue à rendre la tech plus accessible et inclusive.

Elle partage avec nous sa vision, son parcours et ses recommandations pour favoriser l’égalité des chances dans un secteur en perpétuelle évolution.

alex palma : Parcours d’une développeuse, consultante et speaker 

Peux-tu te présenter brièvement ? 

J’ai suivi la formation développeuse web PHP/JS spécialisation React lancée le 8 octobre 2019, je m’en souviens comme si c’était mon anniversaire 🎂🥳

En sortant d’O’Clock, j’ai enchaîné avec une mission freelance de 6 mois en agence web. Puis 6 mois de stage dans une start up qui fait de l’IoT. La boite était trop récente pour financer un CDI à l’issue de mon stage alors j’ai fait une alternance d’un an pour passer un titre CDA (Conceptrice Développeuse d’Applications) afin de laisser le temps à l’entreprise de s’installer, parce qu’on avait envie de continuer à travailler ensemble. A la fin de mon alternance, on n’avait toujours pas le budget alors j’ai signé chez Zenika pour un CDI de consultante front, pour faire du dev et de l’UX. 

C’était il y a 3 ans. Aujourd’hui, je suis toujours consultante front, mais aussi formatrice et manager. Je me suis spécialisée dans l’accessibilité, et j’essaie de faire avancer les sujets de diversité et inclusion dans la tech, à ma modeste petite échelle. 

Alex Palma développeuse et consultante
Alex Palma développeuse et consultante

NDLR : à l’époque O’clock ne proposait pas le titre CDA ni d’alternance, mais c’est chose faite, découvrez notre formation Concepteur(trice) Développeur(se) d’Applications en alternance.

Quelles sont, selon toi, les principales barrières que rencontrent les jeunes filles lorsqu’elles envisagent une carrière dans le numérique ? 

Vaste question… Les biais sexistes, le manque de représentation, la faible visibilité des métiers du numérique auprès des jeunes, le manque de parité dans les filières STEM, les contenus non inclusifs de tout ce qui tourne autour de la tech, l’éducation genrée (on dirige moins les filles vers les STEM que les garçons)… Il est difficile de se projeter dans un métier qu’on ne connait pas et dans lequel on ne voit aucune femme ou presque. Et parfois, on veut, mais on ne nous laisse même pas essayer. 

Quand j’étais au lycée, on m’a refusé l’accès au parcours scientifique malgré mes bons résultats, et j’ai été dirigée vers les arts, les langues et la littérature. J’ai rapidement fuit la fac de Lettres Modernes que j’ai détestée.

J’ai essayé d’intégrer un BTS informatique. On m’a refusée parce que c’était “trop technique pour une fille”, alors une fille avec un bac littéraire, n’y pensons pas…

Ce genre de discours ne devrait pas exister, mais il est malheureusement toujours d’actualité. Selon l’étude GenderScan de 2024, plus d’une femme sur trois aujourd’hui étudiantes en STEM ou en numérique ont été découragées de faire ce choix.

Quand j’ai fait O’Clock, j’ai entendu des “c’est difficile le dev pour une femme, tu ne sais pas dans quoi tu te lances”, “faut bosser pour devenir dev, y’a pas le temps de se faire les ongles !”, “comment tu vas faire avec tes enfants?”… On ne m’a pas du tout prise au sérieux au début. Je doute qu’un homme ait droit à ce genre de remarques. 

Concernant les écoles d’ingénieurs, peu de femmes y entrent, et encore moins en sortent diplômées (29%). Parmi celles qui passent ce cap, 50% quitteront la tech dans les 10 premières années de leur carrière… On a donc un vrai problème pour attirer et retenir les talents féminins dans la tech

Comment ta formation chez O’clock a influencé ta carrière, et quelles améliorations proposerais-tu pour rendre les formations tech plus inclusives ? 

O’clock m’a semblé hyper inclusive, je me suis sentie à ma place et dans un environnement ultra bienveillant. D’ailleurs ma promo affichait une belle parité avec 50% de femmes. J’ai un peu extrapolé à la tech en général avant de me rendre compte que c’était pas tout à fait comme ça dehors… 

Le fait que ce soit en téléprésentiel, c’était vraiment le pompon sur la cerise de l’inclusivité. Je n’aurais jamais pu faire cette formation sans ça… Il n’y avait rien là où je vivais, je suis handicapée et je n’avais pas la possibilité de faire du présentiel 5 jours sur 7. Et pour couronner le tout, je suis maman et j’ai fait la formation en plein confinement, avec mon fils de 4 ans sur les genoux 👶💻 C’était sportif, mais grâce au format un peu précurseur d’O’clock, ça l’a fait ! 

Cette formation a vraiment changé ma vie. Ça m’a ouvert une porte à laquelle j’essayais d’accéder depuis des années sans jamais y parvenir, parce que je n’avais pas de bac scientifique, parce que j’étais une fille (et que les filles, ça fait de l’art et ça écrit des livres, enfin). O’clock m’a donné une chance de prouver que j’étais capable, là où tous les autres avant ça m’ont renvoyé mon incompétence présumée liée à mon genre et au type de mon bac, sans jamais me laisser essayer. 

Je pense que les parcours de reconversion aujourd’hui sont une ressource vitale pour féminiser la tech. Beaucoup de profils arrivent par ce biais, et c’est une très bonne chose ! On constate de fait que les femmes sont bien intéressées par le secteur. Le problème ne vient pas d’un supposé manque d’intérêt de leur part comme on l’entend souvent, il est systémique. 

S’assurer de diversifier les personnes formatrices me semble être une bonne base pour améliorer l’inclusivité des formations tech. Un de mes tous premiers role models féminin a été ma prof de React. Elle m’a permis de me projeter en tant que dev, et c’était important. 

Le mentorat peut aussi aider à rendre une formation plus inclusive. Dans ma promo, les personnes qui avaient des facilités aidaient les personnes qui avaient des difficultés. C’était super positif ! Être “mentore” m’a permis de consolider mes acquis, d’apprendre à expliquer les concepts, d’identifier mes propres lacunes et ce que je devais encore travailler. Aider d’autres personnes, c’est valorisant. Ça soigne un peu le syndrome de l’imposteur qu’on ressent facilement en sortant d’une reconversion. 

Qu’est-ce qui te motive à travailler en tant que consultante front end et accessibilité ?  Peut-on rendre l’industrie tech plus inclusive ?

Les technos front end sont à mes yeux l’alliance parfaite entre la créativité et la technique. C’est mon Yin et mon Yang, j’y ai trouvé mon équilibre. Travailler en front me permet d’avoir un impact direct sur l’accessibilité, et de créer des interfaces plus inclusives. Et ça, c’est l’un de mes moteurs… Aujourd’hui tout reste à faire pour que le web soit accessible aux personnes handicapées. 

J’aime aussi beaucoup la communauté qui gravite autour de ces technos, qu’elle soit en ligne ou locale via les meetups et les conférences. C’est très actif, ça évolue constamment, il faut apprendre sans cesse et j’aime cette effervescence. Je suis quelqu’un qui s’ennuie très vite… la tech m’a posée parce que ça nourrit mon besoin de nouveauté et de challenge. 

Pour ce qui est de rendre l’industrie tech plus inclusive, on y travaille avec la communauté Kod Awen. Notre approche aborde plusieurs aspects : 

    • le mentorat, pour accompagner celles qui en ressentent le besoin,

    • accompagner à la prise de parole en public et donner une tribune en mixité choisie, pour s’essayer au rôle de speaker sans pression, 

    • visibiliser les rôles modèles féminins, auprès des jeunes filles, des écoles, mais aussi auprès des autres professionnelles du secteur en étant présentes sur les conférences tech, sur les meetups. Prendre notre place dans l’espace communautaire, en somme ! 

    • offrir un espace d’échange sécurisant, dans lequel on peut créer du réseau, mais aussi parler librement des freins qu’on rencontre dans nos carrières, du sexisme, de nos difficultés, obtenir des conseils ou de l’aide… 

    • encourager le partage de connaissances entre les membres et la communauté en général, via des conférences, des ateliers, des échanges avec d’autres communautés locales… 

On ne manque pas d’idées, plutôt de temps pour toutes les mettre en œuvre. 

Comment penses-tu que les enjeux d’inclusion et d’accessibilité peuvent favoriser une meilleure représentation des femmes dans le digital ? 

Je pense que les enjeux d’inclusion mettent l’accent sur la diversité des parcours, des besoins et des expériences. Il est prouvé que les équipes diversifiées performent plus que les équipes non diversifiées… Et de fait, on ne peut pas concevoir des produits sans biais si l’équipe n’est pas représentative de la diversité. 

Alex Palma parcours développeuse à consultante
Alex Palma parcours développeuse à consultante

En prenant en compte les problématiques d’accessibilité dans une entreprise ou une école, on ouvre aussi la voie à une plus grande diversité de talents et ça peut aider les femmes à dépasser certaines barrières systémiques. Un exemple, le télétravail ou les horaires flexibles sont parfois nécessaires aux personnes handicapées, mais permettent aussi de concilier plus facilement la vie professionnelle et la vie familiale, on sait que c’est un enjeu particulièrement important pour les femmes. 

Peux-tu nous parler de ton expérience de la Women Developer Academy ? 

Il s’agit d’un programme de Google pour promouvoir la diversité des speakers dans les communautés tech. Dans ce cadre, j’ai été mentorée par des speakers renommés, j’ai suivi des cours et ateliers de prise de parole en public. J’ai eu la chance d’être invitée dans les locaux Parisiens de Google à cette occasion, et pour moi, c’était l’évènement de l’année 🤩

J’ai fait aussi des rencontres géniales pendant ce programme, certaines sont devenues des amies. Olivier Le Plus, l’un de mes mentors, m’a aidée à me lancer sur les conférences nationales en me proposant d’être sa co-speaker au Devfest Toulouse… 15 jours avant la conf. Il n’y avait pas de notes speaker sur le support, le replay n’était pas encore sorti et j’avais assisté à son talk une seule fois quelques mois plus tôt, je n’en avais que de vagues souvenirs… Pour moi qui aime être en pleine maîtrise de toutes les variables, c’était un énorme challenge. Je crois que j’ai jamais été aussi stressée de ma vie ! Mais après ça on a plus peur de rien ! J’ai aussi présenté ce talk en Anglais lors du International Women Day 2024 à Glasgow, en sa compagnie. J’ai appris beaucoup grâce à lui. 

Ce programme m’a apporté beaucoup de confiance en moi sur la prise de parole en public, et un réseau solide, car le milieu des confs tech est tout petit et tout le monde se connaît plus ou moins. Ça m’a apporté une certaine visibilité, et des contacts avec Google qui m’ont permis de devenir ambassadrice Women Techmaker. 

Quelles actions concrètes vois-tu pour lutter contre les stéréotypes de genre et encourager plus de jeunes filles à devenir développeuse et plus ? 

Agir tôt, en intégrant la tech dans l’éducation, en proposant des ateliers et des challenges réservés aux filles comme le Challenge Ada Lovelace pour déconstruire les idées reçues sur les métiers de la tech, qui contribuent à limiter les ambitions des jeunes filles. 

Sensibiliser pour déconstruire les biais des adultes, parce que les profs et la famille sont les premiers à décourager les filles à se lancer dans les filières STEM. 

Déconstruire les clichés sur nos métiers, la tech ce n’est pas uniquement le développement, ça peut aussi être coté produit, design, no code… La créativité, le travail collaboratif ou l’innovation sociale y ont toute leur place. 

Valoriser les rôles modèles féminins, et par rôles modèles, je ne parle pas des légendaires Ada Lovelace, Margaret Hamilton et remarquables consoeurs… mais de personnes beaucoup plus accessibles et proches de notre quotidien aujourd’hui.

Je vous invite à visionner l’excellente conférence de Magali Milbergue sur ce sujet : Burn Your Idols

Il faut changer les récits pour montrer que la tech peut être diverse, accessible et créative

Quel rôle penses-tu que jouent les modèles féminins comme toi dans l’inspiration des futures générations de femmes qui souhaitent se lancer dans le numérique ? 

Je pense que c’est un rôle essentiel pour rendre visible des parcours diversifiés et briser les stéréotypes liés au genre. Chaque parcours féminin visible enrichit la palette des possibilités, ça a un impact. 

Je ne suis pas quelqu’un qui aime se mettre en avant, je suis plutôt réservée de base. Mais j’ai compris que je devais me rendre visible pour faire bouger les lignes.

En prenant la parole publiquement, j’ouvre la voie pour d’autres, comme ça a été le cas pour moi avec Lise Quesnel, Emmanuelle Aboaf, Angi Guyard ou Aurélie Vache, qui ont eu (et ont toujours !) beaucoup d’impact à mes yeux. Je me suis sentie capable de le faire parce que j’ai échangé avec ces femmes incroyables qui l’ont fait avant moi, et qui ne sont pas pour autant des personnes extraverties. Je me suis reconnue dans leur parcours, et ça m’a aidée à me lancer avec moins d’appréhension, forte de leur expérience et de leur soutien. 

On a aussi un rôle à jouer avec des initiatives comme Kod Awen ou Yeeso par exemple, en offrant un soutien concret et en autonomisant les femmes pour leur permettre de briller et de prendre leur place. L’objectif c’est aussi et surtout de mettre les autres en lumière, et que notre visibilité fasse grandir le collectif. Seule, on aura jamais autant d’impact qu’ensemble pour faire évoluer les choses dans le bon sens. 

En tant que manager chez Zenika, comment gères-tu la diversité au sein de ton équipe ?  

Le rôle de manager en ESN ne correspond pas au management opérationnel d’une équipe classique, c’est du management de carrière. Donc je n’ai pas beaucoup d’opportunités de gérer la diversité dans ce cadre à vrai dire. Mais j’y travaille au sein de l’agence et du groupe, plutôt par le biais des groupes de travail RSE pour la D&I et du Cercle Women Empowerment, dont je fais partie. Il s’agit d’une initiative créée pour promouvoir l’égalité femmes-hommes dans l’entreprise. On propose par exemple des ateliers et des conférences de sensibilisation dans les agences ou en remote, dans le cadre de nos communautés de pratique, et on travaille aussi avec le management, les RH et la direction pour faire avancer ces sujets chez nous. 

J’ai la chance de travailler dans une entreprise qui nous donne la possibilité de prendre ce genre d’initiatives et qui nous soutient dans cette démarche, ça n’a pas de prix. D’ailleurs l’agence de Brest accueille souvent les meetups de Kod Awen, et Zenika est notre premier sponsor. L’initiative a été soutenue depuis le tout début par mon directeur d’agence, qui m’a accompagnée et conseillée pour lancer le projet (et voilà une première bonne pratique pour soutenir les femmes, mentorer !).

Quelles sont les meilleures pratiques pour créer un environnement de travail inclusif et soutenir les femmes dans leur évolution professionnelle ?

Selon moi, les meilleures pratiques pour créer un environnement de travail inclusif et soutenir les femmes dans leur évolution professionnelle, ce serait : 

    • du mentorat pour accompagner les parcours professionnels, 

    • un cadre de travail sécurisant, qui ne tolère aucun sexisme (ordinaire ou non), – en tant que manager, instaurer une relation de confiance, où chaque personne peut s’exprimer librement et recevoir un soutien adapté, 

    • viser l’équité sur tous les aspects : attentes, rémunération, opportunités et accès aux postes à responsabilité, 

    • une culture du feedback constructive, dans une démarche d’amélioration continue,

    • des rôles modèles visibles au C-Level, 

    • une communication transparente et inclusive, 

    • un espace safe en non mixité (groupe de parole, groupe de travail…) 

La liste n’est pas exhaustive, il y a sûrement beaucoup d’autres choses qu’on peut mettre en place, peut être plus militantes. Mais ce serait déjà une bonne base si on avait ça partout ! 

Quels conseils donnerais-tu aux femmes qui hésitent à se lancer pour devenir développeuse ou consultante ?

Une reconversion c’est un parcours intense et exigeant. Ça ne sera pas toujours facile, mais ça en vaut la peine et ça peut réellement transformer votre vie professionnelle

Il ne faut pas attendre de cocher toutes les cases pour se lancer, il faut oser essayer ! Au pire, on échoue, et ce n’est pas si grave. Les échecs, ce sont des opportunités d’apprendre et de s’améliorer (et un super jeu pour travailler sa logique, mais passons).

Chaque petite victoire compte : comprendre un concept, résoudre un bug ou même poser une question en meetup. Ces étapes vous construisent et vous rapprochent de vos objectifs. 

N’hésitez pas à vous rapprocher des communautés pour trouver du soutien, ou des mentores. Il ne faut pas avoir peur d’y aller parce qu’on est junior. Il y a des tas de personnes junior qui viennent aux meetups et aux rencontres, j’y allais moi-même bien avant la fin de ma première formation. Ça m’a permis de rencontrer mon manager et mes collègues, bien avant de travailler chez Zenika (et ça m’a permis de travailler chez Zenika d’ailleurs). En tant que futures professionnelles du secteur, vous êtes totalement légitimes ! 

Osez la prise de parole en public, et ne vous laissez pas freiner par le syndrome de l’imposteur. J’ai conscience que c’est plus facile à dire qu’à faire, mais être active dans les communautés vous aidera sur ce point. 

Un des éléments clefs pour moi est l’assertivité. On a besoin de s’imposer, de se faire entendre, de reprendre la parole, de défendre nos points de vue, de contrer la blague sexiste de Jean Michel à la machine à café, de gagner la confiance des équipes… et tout ça passe par l’assertivité. C’est une compétence à ne pas négliger !


Un message pour toutes les futures développeuses !

Un immense merci à Alex Palma pour son temps, son témoignage et son engagement en faveur d’une tech plus inclusive. N’hésitez pas à suivre ses actus sur LinkedIn. Son parcours est la preuve que les femmes ont toute leur place dans le numérique, et qu’ensemble, nous pouvons faire bouger les lignes.

À travers cet échange, nous souhaitons aussi adresser un message à toutes celles qui rêvent de devenir développeuses web : les portes de l’école O’clock vous sont grandes ouvertes !

La mixité est une richesse, et il est temps de briser les clichés. Vous hésitez encore ? Venez échanger avec nos apprenantes, découvrez l’ambiance de la formation, et osez franchir le pas. L’égalité Femmes-Hommes dans la tech, c’est un combat qui nous tient à cœur.

🚀 Mesdames, faites tomber les tabous et devenez développeuses !