Portes ouvertes : automatiser avec le no-code (23/04/2024 à 12h) : inscrivez-vous !

Jonathan : le développement web au service de l’entrepreneuriat !

2022-03-24
Jonathan : le développement web au service de l’entrepreneuriat
Si tu te demandes comment développer le projet de tes rêves, on serait tenté de te répondre simplement : en apprenant le développement. 🙃
Mais quand on a sous la main l’histoire d’un de nos étudiants pour qui c’est arrivé récemment ; autant lui passer notre micro pour te la raconter…

Veuillez décliner votre identité !

Jonathan, 38 ans, Normand, musicien, ancien étudiant de l’École O’clock. Et aujourd’hui, je suis un jeune entrepreneur !

Avant O’clock, tu faisais quoi ?

Avant O’clock, j’étais agent immobilier, j’ai fait ça pendant une quinzaine d’années.

En tant qu’ancien agent immobilier, comment tu présenterais notre salle de classe virtuelle ?

Bienvenue dans une vraie salle de classe, à distance ! Retrouvez tous les ingrédients d’une école, en étant confortablement installé, chez vous. Profitez d’une belle ambiance, avec un maximum de camaraderie !

Enfin une école où la déco me plaît ! C’est tentant, merci Jonathan ! 

Pourquoi ce changement de carrière ?

En 2020, il y a eu l’arrivée de la COVID-19, et par conséquent, le premier confinement. Je pense qu’à ce moment-là on a été nombreux à se poser des questions existentielles sur nos vies. Mon boulot d’agent immobilier, je le faisais depuis quinze ans, je le connaissais par cœur. Et puis surtout, j’avais une idée qui me trottait dans la tête depuis un moment, mais il me manquait les compétences techniques pour mettre en œuvre mon projet et pouvoir le faire jusqu’au bout ! Je me souviens encore de la date ! Elle m’a marqué, c’était le 18 janvier 2021, c’est à ce moment précis que j’ai intégré l’École O’clock et que mon aventure a réellement pu commencer !

Tu t’es un peu préparé avant de te reconvertir ?

Oui, j’ai fait un maximum de tutos en HTML, CSS et un peu en JavaScript, avant le mois de janvier. J’avais mon projet, je voulais vraiment le réaliser et j’ai mis tout en œuvre pour y arriver ! Ça m’a réellement aidé, je n’ai pas du tout souffert pendant la formation ! 😂

Et pourquoi O’clock ?

Je me suis renseigné sur plusieurs écoles et O’clock sortait du lot. J’ai contacté une bonne cinquantaine d’anciens élèves pour parler avec eux, et avoir leurs ressentis. Je voulais qu’ils me parlent de leurs expériences. Résultat ; les retours ont été très positifs. Je me suis dit que c’était le bon choix, et je ne me suis pas trompé !

T’étais quel genre d’élève ?

Avant O’clock, je n’ai jamais vraiment aimé l’école, je n’étais pas le plus studieux, on peut le dire. Faire des choses qui nous sont imposées, c’est toujours plus difficile que de faire quelque chose qu’on a choisi. Je peux affirmer que tous les matins, j’étais heureux d’allumer mon ordi et d’aller à l’École O’clock. C’était une très bonne expérience !

Ma vie d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celle d’avant, ça, c’est sûr et j’en suis très content ! Je fais enfin ce qui me plaît réellement.

Aujourd’hui, elle ressemble à quoi ta vie ?

C’est celle d’un jeune entrepreneur qui travaille comme un malade. Ma vie d’aujourd’hui n’a rien à voir avec celle d’avant, ça, c’est sûr et j’en suis très content ! Je fais enfin ce qui me plaît réellement. Je me lève heureux chaque matin pour bosser sur mon projet !

Comment le développement web t’a aidé à concrétiser ton projet ?

Mon projet s’appelle Banjo ! Je voulais proposer des rencontres sur mesure grâce à la musique, puisque c’est le langage des émotions et un joli point de départ pour créer de véritables connexions.

Banjo, c’est une application web. Et une application, ça se développe. Bien évidemment, il y a aussi toute la partie design, marketing… Mais la base, c’est tout le code qu’il y a derrière. C’est pour ça que j’avais besoin d’une école, pour m’apporter toutes ces compétences techniques dont j’avais besoin. Et visiblement, ça a plutôt bien fonctionné puisque je suis arrivé à faire quelque chose qui fonctionne !

Jonathan le développement web au service de banjo

Et du coup, elle fonctionne comment cette application ?

La musique que l’on écoute reflète vraiment notre personnalité ; elle reflète nos souvenirs, nos opinions, notre contexte familial… ce que l’on est vraiment au plus profond de nous ! Aujourd’hui, la plupart des gens écoutent leur musique sur Deezer ou encore Spotify. Alors, l’idée était de récupérer la data qu’on peut récolter sur le profil Spotify (par exemple) des gens pour les faire matcher entre eux, en décelant des similarités qu’on ne pourrait pas forcément déceler sur des sites de rencontre plus “traditionnels” où tout est davantage axé sur le physique.

Ça fonctionne comme un site de rencontre, on s’inscrit avec son compte Spotify (pour rester sur cet exemple), on rentre quelques données “standard” et puis l’application va venir synchroniser la musique de l’utilisateur avec la base de données et faire les calculs qu’il faut. Une fois l’inscription terminée, on découvre tout de suite avec quel profil on match. On voit les chansons qu’on a en commun avec les autres profils, et il y a un score de compatibilité qui est calculé. Voilà le fonctionnement, dans les grandes lignes.

Et tu l’as développé sur quoi cette application ?

C’est du 100% JavaScript ; Le back, c’est du Node et le front, c’est du React.

Cette manière de résonner, je l’utilise dans mon quotidien d’entrepreneur.

Est-ce que tu vois des liens entre le développement et l’entrepreneuriat ?

Je suis quelqu’un de très créatif, je suis musicien, je compose… Et ce qui est sympa dans le développement, c’est que pour aller d’un point A à un point B, il y a une infinité de façons de le faire, c’est à toi d’être créatif et de trouver la meilleure façon d’y arriver. Cette manière de résonner, je l’utilise dans mon quotidien d’entrepreneur.

le développement web au service de l’entrepreneuriat

Et entre le développement web et la musique ?

C’est justement ce que j’ai essayé de faire avec mon application ! Mais en dehors de ça, une application, c’est un ensemble de couches qui forment un tout qui fonctionne. Et la musique, c’est un peu pareil, c’est un ensemble de pistes qui forment un morceau qui fonctionne aussi !

Une école va nous apprendre des choses, tandis qu’une très bonne école va nous apprendre à apprendre. C’est ce que O’clock fait, et une fois qu’on a acquis ça ; l’apprentissage va très vite, et de nombreuses portes s’ouvrent.

Qu’est-ce que l’École O’clock t’a apporté dans cette aventure professionnelle ?

Clairement ; de très bonnes bases en programmation, que ce soit en front ou en back. Je pense que quand on s’implique bien dans la formation, on ressort avec un niveau suffisant pour faire des choses extrêmement concrètes ! Alors, certes, ça peut être compliqué pour certains, ce qui n’a pas été mon cas, c’est une formation très intensive, mais quand on s’accroche, ça en vaut la peine ! J’ai trouvé les profs vraiment top, très pédagogues, notamment Noé, qui m’a vraiment marqué ! Une école va nous apprendre des choses, tandis qu’une très bonne école va nous apprendre à apprendre. C’est ce que O’clock fait, et une fois qu’on a acquis ça ; l’apprentissage va très vite, et de nombreuses portes s’ouvrent.

Il n’y a rien de mieux que les projets perso pour apprendre plutôt que de copier-coller du code !

Et pour finir ; si tu as un p’tit conseil ou une phrase motivante pour ceux qui hésiteraient à développer eux-mêmes leurs projets, ce serait quoi ?

Quand on croit en quelque chose et qu’on a envie de le faire, il faut le faire, parce que sinon, un jour ou l’autre on aura des regrets. Je pense qu’on a la chance d’être dans un pays où il n’y a pas mal de dispositifs qui aident les gens à se former et à entreprendre. Donc il faut se lancer et ne pas avoir de regret dans la vie, ce n’est pas bon, ça nous ronge après. Si on a vraiment une bonne idée et qu’on en est convaincu, il faut y aller  !

Il ne faut pas avoir peur de se planter, au pire, on en ressort grandi, et ça vaut toujours le coup, même en cas d’échec !

Et puis, un dernier conseil pour les étudiants, c’est quelque chose que je répétais régulièrement sur Slack : “Trouvez-vous un projet perso qui se rapproche de ce qui a été vu en cours et bossez là-dessus !” Il n’y a rien de mieux que les projets perso pour apprendre plutôt que de copier-coller du code ! C’est ce que je faisais le soir, et c’est comme ça que j’ai bien progressé !