Télétravail et métiers du numérique : entre galères du quotidien et liberté retrouvée
Travailler depuis son canapé, l’ordi sur les genoux, en pyjama pilou-pilou : avouez que ça fait rêver. Plus de trajet en métro serré comme des sardines, plus de patron qui surveille par-dessus votre épaule, et le frigo à portée de main en cas de petit creux, c’est le rêve, non ?
Eh bien, pas si vite ! Le télétravail, ce n’est pas que siroter son café en pantoufles devant son éditeur de code. Derrière les posts LinkedIn de laptop à la plage se cachent aussi quelques galères bien réelles du quotidien en remote.
Dans cet article, on va passer en revue ces fameuses galères du télétravail (si, si, vous allez forcément en reconnaître quelques-unes). Mais rassurez-vous, on ne va pas s’arrêter aux problèmes : on verra pourquoi, malgré tout, les métiers du numérique sont particulièrement adaptés à cette vie en distanciel.
Prêt·e pour les confessions d’un télétravailleur en chaussons ? C’est parti !
Les galères du télétravail : confessions d’un développeur en chaussons
Travailler de chez soi, c’est cool… sauf quand le chat décide de s’inviter sur votre clavier en pleine réunion visio (ça c’est presque tous les jours dans la team O’clock). Mais ce n’est que l’un des nombreux défis du quotidien en remote. En vrac : il y a d’abord la frontière floue entre boulot et maison. Quand votre bureau est votre salon, difficile de “débrancher” le soir. On se surprend à rouvrir l’ordinateur à 23h pour juste checker un email, et on finit en session de code nocturne non prévue, merci la to-do list infinie et la tentation de toujours faire plus. Pas étonnant que les télétravailleurs aient tendance à trop bosser et à repousser l’heure de la déconnexion.
Ensuite, qui dit maison dit tentations omniprésentes. Julien, alumni de 2022, aujourd’hui développeur en full remote nous le dit à demi-mots :
Rester concentré peut relever de la mission impossible, il y a toujours une petite distraction qui rôde. “Allez, un épisode de ma série pendant la pause dej”, “Tiens, si je pliais le linge pour procrastiner en paix”, “Oh, et si je recodais ce module… après une petite partie de jeu vidéo ?” Et soudain, c’est déjà le soir et votre productivité de la journée frôle le néant.
Pas facile de prioriser son travail quand Netflix, le chat et même la vaisselle sale conspirent pour vous faire les yeux doux !
Il y a aussi les interruptions dignes d’un vaudeville. Vous pensiez être peinard chez vous ? Raté. Le livreur sonne pile au moment où vous déployez en production. Votre enfant de trois ans déboule fièrement en plein Zoom pour montrer son dernier dessin à votre équipe hilare. Le chat (encore lui) fait tomber un pot de fleurs pendant LE call client crucial.
Travailler à domicile, c’est jongler en permanence entre le pro et le perso, et parfois devoir expliquer gentiment à vos proches que “non, même si je suis à la maison, je ne suis pas dispo pour sortir la poubelle à 10h du mat’.” Bref, la concentration en prend un coup, et il faut apprendre à gérer ces intrusions imprévues (et poser un Do Not Disturb sur la porte du salon, promis).

À l’inverse, il y a les moments où l’on se sent un peu trop seul. Pas de collègues avec qui refaire le monde à la machine à café, pas de déjeuners d’équipe à la cafétéria, le home office c’est juste vous et votre ficus (notez, il est un très bon confident, mais côté conversation ça reste limité). La solitude guette, et avec elle ce petit blues du télétravailleur isolé. On peut avoir l’impression de passer la journée à parler à son chat, ou pire, de devenir le fameux ermite en sweat à capuche coupé du monde. Difficile aussi de ne pas se sentir “exclu” quand on travaille loin : les discussions de couloir et décisions prises à la volée au bureau nous échappent complètement. Un petit malentendu par email ou un emoji mal interprété sur Slack, et c’est le quiproquo assuré en l’absence d’indices visuels ou sonores. Pas simple de bien communiquer quand votre équipe est éparpillée aux quatre coins du pays (voire du globe) et que vous manquez d’infos parce que vous n’étiez pas là pour la mini-réunion improvisée au café du coin.
Et que dire de la technique ? Travailler en full remote signifie dépendre à 100% de votre connexion internet et de vos outils informatiques. La hantise absolue du télétravailleur ? La coupure de Wi-Fi un jour de grosse échéance. Ou ce PC qui décide de redémarrer pour une mise à jour pile pendant votre présentation client en visio. Forcément, à distance, le moindre hic technique peut tourner au cauchemar (pro tip : toujours avoir un plan B, du style partage de connexion 4G en cas de panne internet).
Ajoutez là-dessus les mauvaises habitudes qu’on prend sans s’en rendre compte : on bouge moins qu’au bureau (qui a pensé à faire une pause étirements aujourd’hui ?), le frigo n’est qu’à 5 mètres et c’est dur de ne pas y faire des raids réguliers, enfin on oublie parfois de déjeuner sainement ou de sortir prendre l’air. Qui n’a jamais réalisé à 19h qu’il n’a pas mis le nez dehors de la journée ? (Allons, avouez, votre teint lavabo et votre carence en vitamine D vous trahissent 😇.)
Alors, le télétravail, un cauchemar ? Certainement pas : pour chaque problème sa solution, et on apprend vite à dompter ces galères du quotidien. Et malgré ces défis, de plus en plus de monde ne reviendrait en arrière pour rien au monde. Pourquoi ? Parce qu’avec un peu d’organisation et les bons outils, le remote offre surtout une liberté et une qualité de vie incomparables. Pas de transport, plus d’autonomie, travailler où on veut (ou presque), le jeu en vaut la chandelle ! Comme le soulignent si bien les rapports sur le sujet, le télétravail apporte flexibilité, autonomie, meilleure productivité et plus de temps pour vous aménager une vie en dehors du boulot aussi. Alors autant transformer ces petits obstacles en simples anecdotes à raconter lors de vos futures pauses café virtuelles.
Pourquoi les métiers du numérique sont taillés pour le télétravail ?
Malgré les galères mentionnées, on le répète : travailler à distance en vaut la peine, surtout quand on exerce un métier du numérique. En effet, s’il y a bien des jobs qui permettent de bosser de presque n’importe où avec juste un ordinateur et du Wi-Fi, ce sont ceux de la tech. Depuis longtemps déjà, les développeurs, admins système ou graphistes pouvaient coder, dépanner ou créer à distance sans problème. La pandémie a juste accéléré le mouvement et prouvé que bon nombre de tâches digitales peuvent être réalisées aussi efficacement (voire plus) depuis la maison.

En clair, les métiers du numérique sont particulièrement flexibles : pas besoin d’une usine ou d’un labo sur place, votre bureau c’est là où vous ouvrez votre laptop. Que vous habitiez en ville, à la campagne, ou que vous rêviez de travailler depuis une petite cabane au fond des bois, tant que vous avez la fibre optique, c’est possible 😉. Cette indépendance géographique ouvre des perspectives géniales : fini de devoir déménager pour un job, ou de passer 2 heures par jour dans les transports. On peut adapter son travail à son mode de vie, et non l’inverse. C’est pour cela que les métiers du web et de l’informatique ont la cote pour le télétravail. D’ailleurs, cerise sur le gâteau, le secteur du numérique recrute à tour de bras et a besoin de talents partout, pas juste à Paris ou dans les grandes métropoles. Autant de raisons de se lancer !
Quelques exemples concrets de métiers remote-friendly accessibles via O’clock :
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- Développeur web : Il/elle code des sites et applications depuis son éditeur favori. Que ce soit de son salon, d’un espace de coworking ou face à la mer, peu importe tant qu’il y a un écran (et du café) pour aligner les lignes de code.
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- Technicien support IT : Armé d’un casque micro et de logiciels de prise en main à distance, il peut dépanner des utilisateurs aux quatre coins du pays sans quitter son bureau. Un PC en panne à Lille, une imprimante capricieuse à Bordeaux ? Pas de souci, un partage d’écran et c’est réglé, le tout en pantoufles depuis chez lui.
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- Développeur Front-End / Webdesigner : Qu’il soit code côté Front ou qu’il soit muni de sa tablette graphique et de Photoshop, il concocte les sites du futur depuis son coin tranquille. Ses maquettes s’échangent en ligne et ses réunions clients se font en visio, pas besoin d’être physiquement en open-space pour booster la créativité !
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- Expert cybersécurité : Son terrain de jeu, c’est la toile. À distance, il traque les failles de sécurité et repousse les hackers, que son PC soit branché à Paris ou au fin fond de la Creuse. La cyberdéfense n’a pas de frontière, il suffit d’une connexion sécurisée et de solides compétences, et hop, il peut protéger des serveurs à des milliers de kilomètres.
(Et la liste ne s’arrête pas là : développeur back-end, admin système, intégrateur, chef de projet, data analyst… en gros, si ça se fait sur un ordi, c’est potentiellement compatible avec le télétravail.)
Vous voyez l’idée : la plupart des métiers tech se pratiquent très bien à distance. Cela ne veut pas dire qu’ils sont faciles, on a vu qu’il faut savoir s’auto-discipliner, communiquer en ligne, etc., mais intrinsèquement, ces boulots n’imposent pas une présence physique quotidienne sur un site. D’ailleurs, de nombreuses entreprises du secteur l’ont compris et offrent désormais une flexibilité totale à leurs employés. L’école O’clock, par exemple, est elle-même une entreprise 100% remote depuis ses débuts (bien avant que ce soit la mode). Reste à voir comment se former efficacement à ces jobs à distance sans tomber dans les pièges du remote décrits plus haut. C’est là que le fameux téléprésentiel entre en scène.
Comment O’clock forme efficacement à ces métiers malgré la distance ?
On pourrait penser que se former en ligne, c’est galère : rester tout seul devant des tutos YouTube, sans prof pour vous guider, ça rappelle un peu les MOOC où l’on commence motivé et qu’on abandonne en route. En fait, O’clock a justement été créé pour offrir le contraire : depuis 2016, cette école a parié sur un format 100% en ligne mais avec les mêmes avantages qu’une classe en présentiel. Ce format inédit, on l’a appelé le téléprésentiel. L’idée ? Réunir le meilleur des deux mondes, présentiel et distanciel, pour que la formation à distance soit aussi riche et efficace qu’en salle de cours. Concrètement, le téléprésentiel recrée les conditions d’une salle de classe physique… mais depuis chez soi ! Interactions en direct entre formateurs et étudiants, accès instantané aux ressources pédagogiques, outils collaboratifs intégrés pour travailler en équipe au quotidien, tout y est. En d’autres termes, vous faites tout ce qu’on ferait dans une école classique, mais sans quitter votre domicile. Plutôt cool, non ?
Et ce n’est pas qu’un concept en l’air. Chez O’clock, cela fait presque 10 ans qu’on prouve qu’on peut « coder comme un pro en pantoufles » grâce au téléprésentiel. Les cours ont lieu en direct vidéo chaque jour, avec de vrais formateurs en chair et en os (derrière leur webcam) et une promo d’autres étudiants avec vous. Du lundi au vendredi, de 9h à 15h, vous êtes en cours live, pas de tentation de grasse matinée, il faut être au rendez-vous comme dans n’importe quelle école 😉. L’après-midi, place aux ateliers de groupe, aux exercices pratiques, aux projets à coder en équipe. Cette structure fixe, avec un emploi du temps régulier, aide à prendre de bonnes habitudes de travail et à éviter la procrastination. Finies les journées qui partent dans tous les sens : vous avancez pas à pas, bien encadré, et si vous avez un coup de mou, hop, le formateur n’est pas loin pour vous remotiver. D’ailleurs, tout est enregistré et accessible en replay, avec les notes et ressources partagées, donc personne n’est jamais “largué” s’il rate un morceau.
Le plus important, c’est que vous n’êtes jamais seul. Une formation O’clock, c’est une aventure collective : vous faites partie d’une promo soudée, avec qui vous échangez en temps réel, vous relevez des défis en équipe, vous vous entraidez. Cette présence humaine change tout : on ose poser des questions, on apprend de ses erreurs en groupe, on se motive mutuellement, exactement comme dans une classe traditionnelle. Résultat : pas de place pour l’isolement du télétravailleur solo dans son coin. L’émulation de groupe est bien là, et ça réduit drastiquement les risques de découragement. On constate d’ailleurs que sans cet accompagnement, beaucoup abandonnent les formations en ligne classiques, jusqu’à 87% des apprenants en MOOC jettent l’éponge avant la fin du programme, faute de prof pour les guider! Chez O’clock, l’abandon touche moins de 5% des apprenants (et souvent pour des raisons sans rapport avec la formation).
En choisissant O’clock, vous avez donc un cadre et un suivi quotidien qui vous aident à surmonter tous les défis du remote. Besoin d’aide pour comprendre un concept difficile ? Le prof est là en direct pour vous l’expliquer différemment. Un coup de moins bien ou une baisse de motivation ? Vos camarades de promo et l’équipe pédagogique vous reboostent sur Slack ou lors des daily du matin. Pas l’impression de progresser ? Les projets concrets et les retours réguliers de vos formateurs vous montrent le chemin parcouru. En bref, O’clock met l’humain au centre, même derrière un écran.
Enfin, O’clock ne se contente pas de vous donner du contenu et de vous laisser vous débrouiller. Le mot d’ordre, c’est accompagnement de A à Z. L’école s’occupe de vous du premier jour jusqu’au diplôme, et même après : aide au financement, coaching, projets pratiques, préparation au titre professionnel, et même appui pour chercher un job une fois la formation finie. Plus de 7500 étudiants ont déjà fait confiance à O’clock pour changer de vie et rejoindre les rangs des professionnels du numérique formés en téléprésentiel. Ce n’est pas un hasard : cette approche pédagogique innovante porte ses fruits, et de nombreux alumni travaillent aujourd’hui en tant que développeurs, techniciens IT, admins ou autres, souvent en remote et épanouis. Comme on dit chez nous, on ne forme pas de simples solitaires face à des vidéos, on forme des développeurs, des techniciens systèmes et réseaux, des experts DevOps ou cybersécurité, entourés et guidés au quotidien. La différence est là : vous apprendrez votre futur métier à distance, mais jamais seul.
Le travail hybride : la nouvelle star des open spaces et des salons
Entre le télétravail à 100 %, synonyme de grand confort mais parfois aussi de grande solitude et le retour total au bureau (synonyme de trajets quotidiens et de pantalons repassés), un modèle fait de plus en plus d’adeptes : le travail hybride. Mélange subtil de jours en télétravail et de journées sur site, c’est un peu la version « best of » du monde pro post-pandémie.
Beaucoup d’entreprises du numérique adoptent désormais ce format. Pourquoi ? Parce qu’il permet de concilier le meilleur des deux univers : la flexibilité et la concentration du travail à distance pour les tâches individuelles, avec le lien social et la dynamique d’équipe que seule la présence physique sait vraiment recréer. En clair, on peut coder en mode ermite les jours où l’on a besoin de calme, puis revenir au bureau pour un atelier de brainstorming (ou pour ne pas rater la galette des rois du service IT, soyons honnêtes).
Pour les travailleurs, c’est un véritable confort : organiser ses semaines en fonction de ses besoins (et parfois de la météo), éviter le stress des transports quotidien, tout en gardant un pied dans la vie de l’entreprise. Mais attention, le mode hybride demande aussi un peu de gymnastique : il faut jongler avec les agendas, prévoir les jours de présence au bureau (et parfois batailler pour une place de parking), gérer une double installation (ordi, écran, souris au bureau et à la maison, et bien sûr, deux tasses à café fétiches).
Prêt·e à changer de métier pour le télétravail ?
En fin de compte, le télétravail, c’est un peu comme coder : il y a des choses à corriger, des imprévus à gérer, mais avec de l’entraînement on finit par maîtriser la bête. Oui, bosser en pyjama peut présenter quelques écueils, on a ri (jaune) en évoquant le chat sur le clavier et le Wi-Fi capricieux mais ces galères font partie du jeu et on apprend à les surmonter. Mieux, avec les bonnes compétences tech et les bons réflexes, on transforme ces défis en opportunités. Prioriser son travail, s’organiser, communiquer efficacement en ligne, équilibrer vie pro/vie perso… autant de super-pouvoirs que vous développerez en même temps que vos compétences techniques.
Les métiers du numérique offrent une flexibilité sans égale, et grâce à des formations en téléprésentiel comme celle d’O’clock, vous pouvez acquérir ces compétences dans les meilleures conditions, depuis chez vous, sans jamais vous sentir isolé ou perdu. Imaginez-vous d’ici quelques mois, diplôme en poche, prêt·e à décrocher un job de développeur ou d’admin réseau, en pouvant choisir de travailler en entreprise ou en freelance, au bureau ou en full remote. Ce qui était un rêve un peu flou devient concret : vous avez la liberté de bosser en pantoufles ou de n’importe quel coin du monde, tout en faisant partie d’une communauté tech dynamique et soudée.
Alors, le télétravail vous fait-il encore peur ? On parie que non. Au contraire, on espère que ces galères démystifiées vous auront donné envie de tenter l’aventure. Après tout, si vous aussi voulez profiter du “bonheur au boulot” version remote, il ne tient qu’à vous de franchir le pas. La prochaine réunion, ce sera peut-être vous qui la suivrez en pantoufles. Allez, on vous garde une place dans une promo et n’oubliez pas, la tech n’attend que vous, peu importe où vous vous trouvez ! À bientôt, en chaussons, de l’autre côté de l’écran.