Ce qui fait la force de l’école O’clock, c’est tout le soin, l’attention et les compétences allouées à la pédagogie. En première ligne : l’équipe de formateurs spécialisés qui a la lourde tâche de transmettre son expérience et la passion du code à nos étudiants. Et c’est bien pour ça que nous nous décarcassons pour trouver les meilleurs. Mais au fait, ça veut dire quoi être un bon formateur ?
Un concentré d’imagination
Imaginatiooooooon
Le développement web est un métier très technique, avec beaucoup de jargon. Lorsque l’on a tellement baigné dans ce jargon, on finit par oublier que c’en est un et que par définition il n’est pas compris par ceux qui n’ont pas encore les connaissances techniques.
Alors en tant qu’expert, et pour faire adhérer vos élèves aux notions expliquées, il ne faut pas hésiter à faire preuve d’imagination. Faire des analogies, parler avec des images, c’est important pour aider à la compréhension. Plus les exemples sont pertinents, plus l’explication sera limpide. Un bon formateur doit-être capable de trouver une multitude de chemins pour arriver à la même destination.
Une louche de concentration
Pour être un bon formateur, la concentration est primordiale. Il faut savoir être l’affût en classe sur les évènements qui peuvent survenir et perturber le bon déroulement de votre séance. Quand le désastre est inévitable, il faut garder son sang froid et gérer les situations sans se laisser déranger par ces évènements. Pour ça, il n’y a pas secret, il faudra être très patient.
Vous allez devoir aussi être capable de pouvoir interrompre votre cours pour répondre à une question potentiellement hors-sujet et revenir rapidement à votre cours afin de garder l’attention de la classe.
Enfin, un bon pédagogue se doit d’être constamment aux aguets. Une gymnastique des yeux s’impose donc ! Une divergence oculaire pour réussir à regarder ses notes et à garder un œil sur le cours. Eh oui, ce n’est pas parce qu’on bosse en chaussons de chez soi qu’on ne fait pas de sport !
Une pincée d’équilibre
Pour qu’un cours soit agréable, un peu d’humour ne fais pas de mal, il faut être en mesure de créer une ambiance confortable et sereine, afin de favoriser la concentration des étudiants.
Mais attention, animer une formation ne veux pas dire monter sur les planches à chaque cockpit. Ici, on est chez O’clock, pas chez Jamel. Il faut donc trouver un juste milieu entre rigueur et distraction et savoir quand quitter le sérieux du cours pour parler d’autres choses et favoriser cette bonne ambiance.
Une cuillère à café de rigueur
Pour faire en sorte qu’un cours soit spontané, il faut savoir organiser son temps de préparation du cours.
Sortir de sa préparation pour prendre des chemins détournés et pourtant arriver à bon port. En bref, il va falloir être rigoureux.
Une bonne dose d’humilité
Un bon formateur, c’est une personne qui est restée un bon élève. C’est bien beau d’enseigner, mais si on ne se tient pas à la page, surtout dans le vaste domaine du dev, on ne restera pas longtemps au sommet.
Et c’est en ayant un esprit critique sur les autres et sur soi-même qu’on est un bon formateur développeur. Mais attention, il faut savoir se mettre à la place des élèves, toujours réussir à écouter ce qu’on raconte dans la peau d’un débutant, d’un étudiant en fond de classe qui peut décrocher, pour réagir et s’adapter.
Et enfin, il est important de ne pas jouer un rôle, ne pas se vendre plus compétent que l’on est. L’humilité est une valeur importante dans le dev, et ailleurs, à transmettre aux étudiants.
Un soupçon de sécurité
La formation est dure, ça, on est tous au courant. Les étudiants sont d’ailleurs prévenus en amont afin d’éviter les surprises. Une ambiance anxiogène ne ferait que démotiver les troupes.
Le relationnel avec vos élèves sera donc important. Alors, votre rôle sera de faire en sorte, lors de vos cours, de diffuser de la bonne humeur et d’être rassurant sur la post-formation.
Une lampée d’exemplarité
C’est important d’incarner et adopter les méthodologies qu’on veut transmettre, afin que vos enseignements soient limpides et crédibles.
C’est comme forcer un gosse à finir ses brocolis alors que nous même on en a horreur. Le jour où le gamin s’en rend compte, il ne vous prendra plus jamais au sérieux.
Une tasse de passion
C’est peut-être le point le plus important, c’est en tout cas celui relevé par la majorité de nos formateurs.
Ils sont tous passionnés par leur métier et par la manière de le transmettre. Il faut être dévoué à la progression de ses étudiants et incarner complètement son cours et son propos.
